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Cathédrale Notre-Dame-de-l’Annonciation de Nancy

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Historique

1703 1742 : Le duc Léopold Ier de Lorraine confia la confection des plans à Jean Betto qui s’inspira de l’église Sant’Andrea della Valle de Rome. Les plans furent néanmoins modifiés.

1777 : Nancy obtint son diocèse, aux dépends de celui de Toul. C’est à cette occasion que l’édifice fut élevé au rang de cathédrale. La Lorraine était devenue française suite à la mort du roi Stanislas.

1867 : Pie IX accorde à la cathédrale le titre de basilique privilégiée.

► La cathédrale rend aussi un culte à Saint-Sigisbert, roi d’Austrasie au VII. Les reliques de ce dernier transférée depuis l’abbaye de Saint-Martin-lès-Metz étaient conservées dans l’édifice jusqu’à la révolution où elles furent détruites. Une côte, toujours exposée dans le lieu à malgré tout pu être sauvée.

L’orgue 🗎⮵ présent dans l’édifice est classé aux monuments historiques, il fut sauvé des destructions de la révolution par un passionné. Sa construction à été commencée en 1756 et comme la plupart de ses semblables, de nombreuses réparations et augmentations parsèment son histoire jusqu’aux temps modernes.

Spatialité

■ Cathédrale catholique classique | Nancy, Place Mgr Ruch (Meurthe-et-Moselle)



Largeur intérieureLargeur extérieureLongueur intérieureLongueur extérieureHauteur intérieureHauteur extérieure
44 73 78

► L’écart entre les deux tours s’explique par le fait qu’un dôme était à l’origine prévu d’être placé dans cet espace. Il n’en fut rien et un fronton abritant une horloge vint couvrir l’espace vide.

Les grilles 🗎⮵ présentes dans l’édifice furent fabriquées de 1751 à 1755 et sont signées Jean Lamour pour celles les plus proches des tours, ce dernier réalisa aussi celles de la Place Stanislas non loin. Les autres furent faites par l’un de ses élève.

► La fresque de la Gloire céleste 🗎⮵ présente sur la coupole a été peinte entre 1723 et 1727. Elle représente cent cinquante personnages de la Bible, les Docteurs de l’Église et au centre, la Sainte Trinité. Sur les pendentifs, les Évangélistes.

Informations complémentairesEnlumDR

► La cathédrale, qui se trouve non loin de la Place Stanislas, possède également un trésor non exposé, dont des objets liturgiques datant du IX et X ayant appartenu à saint Gauzelin, évêque de Toul entre 922 et 962. Son évangéliaire relié d’or, d’argent et de pierreries en est la pièce maîtresse.

Photographies additionnellesEnlumDV

Intérieur

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Chapelles

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