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Cathédrale Saint-Corentin de Quimper

Historique

V : La légende dit que le roi Gradlon fit don de son palais - reposant sur anciennement sur les fondements de la cathédrale - à l’ermite saint Corentin.

V XII : Présence d’une cathédrale romane, des vestiges subsistent dans la cathédrale actuelle.

1239 1336 : Construction dans le style gothique du chœur en extension à la cathédrale romane.

1424 1493 : La partie romane est démolie pour laisser place à l’édification de la nef et du transept de style gothique.

1620 : Après avoir été touché par la foudre au petit matin, on remarque dans l’après-midi que la flèche de la cathédrale avait finalement pris feu.

XIX : Des travaux de restauration et l’ajout des deux flèches dans un style néogothique sont entrepris sous la direction de l’architecte en chef du département Joseph Bigot. Vingt-trois vitraux seront remplacés par les œuvres du verrier Emile Hirsch tandis que chaque chapelle sera réaménagée puis peintes d’une fresque en rapport avec le culte par les soins de l’artiste Yan d’Argent.

Spatialité

■ Cathédrale catholique gothique classique | Quimper, Place Saint-Corentin (Finistère)



Largeur intérieureLargeur extérieureLongueur intérieureLongueur extérieureHauteur intérieureHauteur extérieure
92 20

Informations complémentairesEnlumDR

◆ Lors de l'incendie de 1620, les quimpérois y on vu l’œuvre d’une créature démoniaque de couleur verte qui aurait été aperçue, dansant dans les flammes. Après un bon moment de lutte infructueuse contre l’incendie, les chanoines décidèrent de jeter dans le brasier un pain de seigle renfermant une hostie et d’asperger le feu d’eau bénite mélangée à du lait de femme. Le feu s’éteignit et le diable de Quimper-Corentin disparut. Le pain de seigle aurait été retrouvé intact au milieu du clocher en ruine.

◆ Une des chapelle nord de la nef est appelée la Chapelle des Trois gouttes de sang. Elle immortalise l’événement qui aurait eu lieu dans à cet endroit. Un homme à qui un pèlerin avait confié ses biens, nia avoir reçu quoique ce soit lorsque de retour ce même pèlerin lui demanda de lui restituer ce qui lui appartenait. L’évêque prit connaissance de l’affaire et le parjure dû jurer devant la croix de l’autel qu’il disait la vérité, à cet instant trois gouttes de sang ruisseleraient du crucifix pour tomber sur la nappe. En souvenir du miracle, on conserva la tête du Christ ainsi que la nappe dans un reliquaire exposé sur la présente chapelle.

◆ Une Mise au tombeau réalisée par Désiré Froc-Robert en 1868 à été inspirée en grande partie du sépulcre de la crypte de la Cathédrale saint-Étienne de Bourges. Les personnages de gauche à droite : Joseph d’Arimathie, Saint Jean l’Evangéliste, Marie mère de Jésus, Marie-Madeleine, Marie Salomé, Marie mère de Jean et Nicomède.

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Photographies additionnellesEnlumDV

Intérieur

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Les fresques

Enfeux et Autels

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Extérieur