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Formes géométriques

Données générales

Date de stabilisationLieu de la stabilisationLieu d’utilisation principalÉquivalents approximatifsÉléments d’ensemble
-VI (Pythagore)GrèceUniversel Principes Gestuelle
Nombres

Descriptions

Généralités

► Les formes géométriques principalement utilisées en symbolisme sont le carré, le cercle, la croix et le triangle, ces dernières génèrent toutes les autres figures. Ils sont anciens et fondamentaux puisque simples, dépouillés, ils véhiculent les prémisses et les axes principaux de la pensée symbolique avec les couleurs, les nombres et l’écriture.

► Les relations existantes entre ces figures dans leurs rapports géométriques et symboliques ainsi que les sens s’ajoutant en les superposant ou en les énumérant, ont donné le premier algèbre hermétique qui puisse traduire la réalité tant visible qu’occulte en paquets de concepts aux articulations définies mais aux limites protéiformes.

↳ Cela à pu aboutir à force de combinaisons et de rapprochements propres à chaque mentalité Humaine, à des grammaires mystiques qui ont pu se développer dans le temps et l’espace, permettant d’exprimer diversement les réalités occultes.

↳ Dans les plus anciennes civilisation, mésopotamienne, égyptienne, chinoise, élamite ou crétoise, on retrouve trace de ces symboles et sans préjuger de leur signification, ces figurations sont antérieurement présentes depuis les pétroglyphes du paléolithique supérieur.

I. Variations

↪ Lorsque ces objets géométriques sont multipliées de manière concentrique, ils évoquent l’idée d’une hiérarchisation qui va d’une part vers le principe à mesure qu’elle progresse vers l’intérieur et le point, d’autre part vers la manifestation à mesure qu’elle s’en écarte.

↪ Lorsque les formes sont ouvertes mais gardent leur dynamique, elles deviennent par exemple colimaçon et clé grecque, spirale et vague, complexifiant leur signification.

Lorsque les figures sont irrégulières comme le triangle scalène ils ne représentent guère plus guère qu’une dégradation ou une inversion de leur signification, à l’instar de l’assombrissement pour les couleurs.

↪ Lorsqu’ils sont portés au solide, ils évoquent une accentuation de leur nature propre : le carré est plus matérialisé, le cercle plus globalisant, la croix plus distributive et le triangle plus transmutateur, attendu que les deux dernières figures doivent utiliser l’une des deux premières pour s’étendre dans le plan supplémentaire, combinant ainsi les symbolismes.

II. Analogies

↪ Les premiers essais de significations symboliques des figures géométriques en occident ont été portées à la connaissance du public d’abord par les pythagoriciens et Platon où dans le Timée la terre est associée au cube, l’eau à l’icosaèdre, l’air à l’octaèdre, le feu au tétraèdre et l’aether au dodécaèdre (Et comme il restait une cinquième combinaison, Dieu s’en servit pour tracer le plan de l’univers).

↪ Puisque ces formes sont peu nombreuses et résument l’univers de façon universelle et dynamique, leur symbolisme réciproque est extrêmement dense, tissant un réseau de relation, d’interdépendance et d’échanges hiérogamiques constants et ténus dans leur interpénétrations.

Correspondances dans la section
Carré Cercle Croix Triangle Point
Marron Rose Violet Orange Gris
Terre Eau Air Feu Aether
4 1 2 3 0

Individuellement

Carré

I. Présentation

► Le carré par ses angles délimitant quatre directions, symbolise la terre avec ses notions de d’honnêteté et de conformité, de solidité et sécurité. Il représente le facteur organisateur et stabilisateur du chaos qui circonscrit la réalité et le monde des phénomènes, permettant au plan spirituel de se concrétiser.

Opposé et complémentaire du cercle qui le génère symboliquement, il manifeste leur rapport par le problème de la quadrature du cercle, projection mathématique du principe de la transmutation entre le pair et l’impair, de la captation dans un sens où de l’autre de la matière parfaitement développée dans sa totalité comme dans la tétraktys ou le tétragramme.

► En effet, rivé et polarisé par ses cotés, figurant des oppositions complémentaires, le carré est dans un arrêt stabilisateur immanent, là où le cercle est libre et dans un éternel mouvement transcendant et ainsi dans la manifestation, le carré est l’espace et le cercle le temps.

II. Finitude

↪ Mais si le tetragon est matière il est aussi création Humaine, projection du mental dans l’aqueuse matière universelle : la courbe est forme naturelle, l’angle du carré par sa perfection théorique est de main d’Homme(1) et lorsque elle se fait maille comme dans le damier, elle superpose la conscience organisatrice à la mère universelle.

↪ Si le carré est matière c’est aussi parce qu’il est croix totalement fixée, devenu indépendant de la volition originelle par sa capacité de résilience obtenue au travers de la totalité spirituelle qu’il manifeste. La forme carré évoque également l’extraction d’un fragment d’éternité dans un moment donné et devient le véhicule d’une portion temporelle ou spatiale, la coque d’un concept que l’on peut alors multiplier et superposer pour assembler et hiérarchiser l’ineffable comme dans les carrés magiques à valeur talismanique que l’on trouve déjà en Égypte et en Chine antique.

III. Solidité

↪ Comme idéalement, le carré est totalité déployée, il est aussi unité, organisation équilibrée et objective. Aussi nombre de systèmes analogiques prennent pour base le quatre (ou cinq en ajoutant l’unité centralisatrice) pour s’énumérer : éléments, directions, saisons et psychisme. En somme, en énumérer moins comme dans la trinité c’est déjà entrer dans le mystère et ne plus considérer l’observateur supplémentaire, en énumérer plus, comme dans les systèmes planétaires ou zodiacaux, c’est déjà expliquer les arcanes et diviser les notions.

↳ Et comme le carré représente cette perfection équilibrée, l’exhaustivité totale, il peut à un stade supérieur, par inversion hiérogamique, devenir le symbole ce qui est éternel et fixe là où le cercle figure ce qui est contingent et cyclique : losange, il devient porteur d’une croix animée là où le mouvement chaotique du cercle devient circulaire et laisse paraître le point.

↪ Fondamentalement signe de force maîtrisée et de sagesse tangible, le carré est à la base de nombreuses constructions profanes et sacrées de par le monde, notamment dans l’art cistercien et on le retrouve en conséquence dans de nombreux mandala. Dans ces figurations architecturales qui l’élèvent au cube, une contrepartie circulaire est fréquemment impliquée, qu’elle soit la colline entourant l’édifice ou bien l’axe transperçant le centre du carré comme à Borobudur.

↳ Ce cube est en outre bien celui de la pureté et de la maîtrise acquise par l’apprenti qui devient compagnon, celui encore d’après l’Apocalypse (21:16) de la lumineuse Jérusalem céleste et de l’omphalos qu’est la Kaaba.

Cercle

I. Présentation

► Point dilaté et vidé, déploiement sans obstacle de l’invisible dans le visible, le cercle symbolise avant tout le divin et le sacré, le ciel dans son acceptation d’étendue unitaire et infinie c’est-à-dire parfaite mais aussi immuable, homogène et subtile. En somme, il symbolise le spirituel, car il est dépourvu de ligne polygonale et d’orientation : le cercle est fondamentalement une surface, ἕν τὸ πᾶν (hen to pān) {Un en tout}.

↳ Aussi, il implique l’idée du transcendant invisible s’opposant à la forme, perfection éternelle à l’action idéale puisqu’il est sans polarités, sans remous et embranchements diviseurs permettant la distinction de la multiplicité des objets spécifiés.

► Symbole le plus répandu de tous, il est le premier déploiement de la cause première et expression graphique de l’ΑΩ que l’on retrouve autour du nimbe. Œuf primordial, il décrit l’action constante du subtil dans ses qualités englobantes, régulatrices et universelles. Il symbolise en conséquence la loi, le temps et lorsqu’il est rayonné, les cycles, s’opposant alors au chaos, à l’espace et à la linéarité, lieu des irrégularités, des déploiements horizontaux et de la liberté autodestructrice.

► Il est aussi en dialectique avec le carré qui représente la contrainte et la matière, là où le cercle est liberté et esprit. On retrouve cette relation dans les coupelles des édifices religieux qui se superposent aux fondations carrées et qui ont pour fonction symbolique de signifier cette opposition. Cette opposition est analogue dans l’Homme tant dans la forme que dans les fonctions, entre sa tête et le reste de son corps.

↳ Elle est autrement figurée en qabale ou en alchimie par le symbole du cercle circonscrit dans le carré, âme fixée dans le corps qu’elle anime.

► Le cercle représente ainsi la providence divine qui pose les limites de l’univers et attire irrémédiablement toute chose crée à elle alors qu’elle demeure matériellement inaccessible. Ainsi que le décrit la si reprise sentence du Livre des XXIV philosophes : Dieu est une sphère sans limite, dont le centre est partout et la circonférence nulle part.

II. Totalité

↪ Forme naturelle, le cercle est utilisé pour figurer nombre de totalités harmonieuses comme le figure le monument mégalithique de Stonehenge ou l’ensemble zodiacal. Il caractérise une expansion uniforme ainsi qu’en second lieu un mouvement rotatif et devient donc le support privilégié pour représenter les luminaires.

↳ Ce mouvement rotatif qui prend toute sa valeur dans le symbolisme de la roue ou de l’ouroboros, les Mewlevis l’exécutent durant les danses du Sama et ce cercle, il est aussi tracé durant les rituels d’exorcismes de plusieurs religions.

↪ Aussi, symbole de la perfection divine, de l’empire étendu de la conscience, manifestée mais non matérialisée dans le monde sensitif, le cercle est un signe de protection magique, instaurant une frontière entre lumière et ténèbres, une enceinte infranchissable. Nec plus ultra : comme il est unité, il rend inexistant ce qui n’est pas compris dans son empire, manifestation de l’absolu dans le contingent. Il lie par sa circularité, tel un nœud, la chose qu’il entoure, lui permettant ainsi d’appartenir définitivement à la sphère spirituelle et bénéfique qui l’avale dans ce cercle, image de la porte par laquelle Dieu à tendu la main pour créer le cosmos.

↳ Pour cette raison, les cercles sont couramment employés en magie que ce soit dans les pentacles ou les talismans, figurés par le shimenawa shinto ou les baldaquins des rois et des saints.

III. Graine

◆ Le point, iod ou bindu, graine et germe est départ et vie de toute figuration géométrique, un cercle si concentré qu’il en devient idéal et abstrait : ultime représentant de la manifestation avant l’unité ultime, il est d’un point de vue formel, déjà inexistant car géométriquement théorique comme peut l’être la droite.

↳ Se perdant dans l’infini il est en effet sans dimensions, rupture de l’espace-temps, unité si fondamentale qu’elle en devient inaccessible car pour toujours inaccessible du point de vue matériel. La croix est la seule figure le suggérant directement par son croisillon quant il n’est que sous entendu dans les autres en tant qu’axe central puisqu’au contraire de la croix, elles disposent d’une aire.

↳ Symbolisant l’attention et la conscience dépourvu de mouvement, les formes géométriques le mettent en mouvement et lui instillent un déploiement, il peut-être ainsi la figuration la plus approchante de l’aether. Lorsqu’il est mis en mouvement, le point devient la ligne qui forme ensuite différentes formes.

Croix

I. Présentation

► Pôle créateur, faille contradictoire d’où émerge la force vitale analogue au moyeu de la roue, la croix, symbole quaternaire et quinaire, est la base de toute orientation.

► Repère des points cardinaux, elle figure l’intersection harmonieuse de deux axes qui signifient simultanément deux réalités fondamentales qui sont :

↳ D’une part le croisement de lignes spatiales lorsque elle se coupent sur le même plan. Et d’autre part, spatiale et temporelle, lorsque elles se croisent dans deux dimensions différentes. Ces deux branches représentent alors soit :

● La rencontre de deux facteurs sur le même plan qui doivent aboutir à une hiérogamie horizontale, comme l’homme et la femme, la droite et la gauche, l’ouest et l’est.

● Ou bien la rencontre du matériel et du spirituel, de l’horizontal immanent et naturel et du vertical transcendant et spirituel, aboutissant à une hiérogamie verticale, comme l’Humain et l’animal, le ciel et la terre, le sud et le nord.

► La croix est un symbole d’universalité et d’union des opposés car les droites qui constituent ses branches s’étendent vers l’infini dans toutes les directions symboliques. Comme il est également centrifuge, il évoque l’explosion de toutes ces formes opposées à partir du point idéal.

II. Relations

↪ La croix est ainsi la mise en relation et en dynamisme de la complémentarité horizontale et verticale, circulaire et triangulaire, l’union des opposés par la rencontre de deux droites qui ne sont pas sur le même axe. Aussi elle est en conséquence, un symbole de lien et de communication, de médiateur et de synthèse, notamment entre le cercle et le carré, entre le révolutions terrestres figurées par les solstices et équinoxes et l’axe cosmique du pôle.

↳ Elle est donc figuration du centre dynamique et du principe, de l’âme et de l’Homme universel. Elle établi en effet le jeu des relations, d’une part par un maillage organisateur : la croix sépare, mesure puis ordonne le chaos par ses bras et d’autre part, par un carrefour centralisant : elle irradie et synthétise le centre, fait office de portail entre les mondes, distribue les énergies polarisées à ses extrémités tel un 岐の神 (Chimata-no-kami) {Dieu des bifurcations} et finalement figure graphiquement le développement de son symbolisme.

↳ On retrouve d’ailleurs un plan hippodamien dans tous les plans des villes romaines avec ses deux axes decumanus (E/O) et cardo maximus (N/S). En tant que symbole de lien, elle recèle en elle les autres figures géométriques : elle figure le point à l’intersection de ses bras et le cercle lorsqu’on entoure ses bras, le carré si on trace quatre segments perpendiculaires à ses extrémités et quatre triangles si on les relie.

III. Vitalité

↪ Finalement, fort de ces significations, elle est ainsi liée analogiquement à l’élément air : esprit au-dessus des eaux en tournoiement manifestatoire se tenant comme un oiseau en position stationnaire, elle fut utilisée pour représenter un centre de force concentré, explosant et irradiant de façon focalisée comme le soleil, le feu produit par le frottement d’une baguette sur une autre ou la foudre transperçant les cieux et la terre.

↪ La croix est la glyphe de Dieu, le sceau que son esprit à imprimé sur la terre, matière passive qui en a alors pris la forme. En conséquence, la croix évoque la distribution vitale cyclique et transcendante, la protection et le rapport avec le divin, comme le fait le font les hiéroglyphes ankh et ndj (Gardiner Aa27).

↳ Pour cette raison, on retrouve dès l’âge de fer, des croix figurées sur des objets cultuels et les sépultures, chargeant le symbole d’une connotation consécrative, une marque de la divinité et de bon augure, comme le fait le cunéiforme sumérien digîr composé de deux croix superposées.

IV. Travail

↪ Puisqu’elle est liée au centre tout en se combinant avec une idée de dynamisme, la croix fixe tout en faisant bouger rétroactivement, de l’intérieur vers l’extérieur : elle est un symbole de travail et de sublimation, lié à celui d’ascension et d’axe, un nombril duquel s’écoule quatre fleuves, une représentation de la vie elle-même.

↳ Elle est cardiaque et magique car chargée de puissance, capable de clouer le Diable, de paralyser son action tout en le menant à la rédemption. Lorsque elle est fichée dans le globe et le rend crucifère, elle s’universalise, fait de tout espace un axe et enclenche en conséquence une transe régénérative, une palingénésie cosmique.

↪ Les plus anciennes formes de croix élaborées que l’on retrouve sur les pétroglyphes du paléolithique supérieur sont la croix ansée et gammée mais elle fut en grand usage dès l’antiquité, par exemple avec le symbole de la rouelle. On trouvera plusieurs considérations archéologiques notamment axé sur l’âge de bronze celte in Le Signe de la croix avant le christianisme, 1866, Gabriel de Mortillet Lien vers le catalogue Lien vers l’œuvre sur Internet Archive.

↳ Quoi qu’il en soit, le christianisme d’abord, développa son symbolisme en élaborant la croix chrétienne et ses nombreux dérivés, les développements héraldiques ensuite, proposèrent un nombre considérable de variantes décrivant à l’aide d’un vocabulaire spécifique chaque détail (𝕍 la fiche afférente).

Triangle

I. Présentation

► Jaillissement saillant dans la verticalité, le triangle représente le feu, c’est-à-dire le mouvement élévatoire par une base stable et la fusion des opposés apportant une essentialisation par destruction de ce qui est inutile. Il est ainsi la figure pour représenter les idées, les essences et l’esprit qui sont par nature surélevés, éthérés, élaborées dans l’âme ancrée sur terre.

► Langue de feu et rayon solaire, signe de pénétration et de concentration impliquant une direction, il est passion subjective, puissance virile et fécondité phallique, complémentant alors avec le cercle qui est dans son rapport avec lui, féminin. Étroitement associé au trois, il est fatalement la forme privilégiée pour figurer les concepts trinitaires et en chiromancie on le tient pour un signe de compétence ou de protection providentielle.

II. Focalisation

Équilatéral, il est signe de la divinité, de l’harmonie et des proportions comme on le retrouve dans l’Œil de la Providence entouré du Delta lumineux en maçonnerie.

↪ Mais lorsqu’il est isocèle sa signification dépend de l’orientation de l’angle le plus aigu, cette dernière se divise principalement en deux pôles.

↳ Il est associé au feu (montant) et au masculin, à la montagne, à la construction et au phallus lorsque un des apex pointe vers le haut,

↳ S’il pointe vers le bas, il représente alors l’eau (coulante) et le féminin, la caverne, l’accumulation et le pubis comme en témoignent les symboles élémentaux hermétiques, les yantra tantriques ou encore la glyphe sumérienne figurant la femme.

↪ Lorsque ces deux triangles sont unis comme dans l’hexagramme, c’est un symbole de sagesse et de protection puisque androgyne, il interpénètre les deux pôles, purusha et prakriti ou à un niveau inférieur, rajas et tamas dans la terminologie du samkhya.

III. Harmonie

↪ Le triangle, qui s’obtient géométriquement et équilatéralement à l’aide d’une duplication du cercle, à trois propriétés invariables :

↳ Tout d’abord la somme des angles d’un triangle fait toujours 180°,

↳ Ensuite la somme des longueurs de deux côtés est systématiquement plus grande que la longueur du troisième côté,

↳ Et enfin, le plus grand angle est toujours opposé au plus grand coté.

↪ Il est également notable que tout figure constituée d’angles dans laquelle on trace un trait du centre jusqu’au dits angles formera une série des triangles et qu’inversement, possédant les propriétés de ces triangles, on pourrait déduire le polygone qui en est à l’origine.

↪ Comme il est stable et harmonieux le triangle à été à la base de nombre de constructions architecturales ou d’œuvres picturales.


1. Exception faite des cristaux de sel.





Version: 1.0
Maj : 28/06/2024