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Albrecht von Bollstädt
Albert le Grand, Le grand philosophe, Maître Albert, Albert de Lauingen, Albert de Cologne, Albert de Groot, Albert l’Allemand, Le Docteur universel, Docteur émérite, Docteur de Ratisbonne

Données générales

PériodeLieu
GénéralXIIIAllemagne
Naissance 1200Lauingen, Allemagne
Décès15 Novembre 1280 ( 80)Cologne, Allemagne
Cause
Inhumation
Église Saint Andreas (Düsseldorf, Allemagne)

DomaineCourantOrdre
Théologie
Philosophie
Naturalisme
Alchimie
Magie
Astrologie
Hermétisme
CatholicismeCanonisation 🎓

Docteur de l’Église
Ordre des prêcheurs 🎓
Patronage 🎓

RelationsNom
Entourage
RivalitéRoger Bacon
Rencontre Arnaud de Villeneuve
Influence
ParNéo-platonisme
Apulée
Aristote
Bernard de Clairvaux
Gertrude de Helfta
Hugues de Saint-Victor
Moïse Maïmonide
Platon
Pseudo-Denys l’Aréopagyte
Critique deSalomon ibn Gabirol
DiscipleHugo Ripelin
Thomas d’Aquin
Ulrich Engelberti
SurBerthold de Moosburg
Dante
Maître Eckhart
Nicolas de Cues
Thierry de Freiberg

Repères biographiques

I. Histoire

► Fils d’un comte d’une lignée de militaires de la petite noblesse souabe, il naît entre 1193 et 1206. Il fait ses études à Padoue, rentre chez les Frères Prêcheurs en 1223 puis après un sermon de Jourdain de Saxe, dans l’Ordre de Saint-Dominique. Il fait son noviciat et ses études de théologie à Cologne puis à Paris pour obtenir sa maîtrise en 1245. Il aura une longue carrière d’enseignant en théologie, principalement en Allemagne où en 1248 il prit la direction du studium generale de Cologne puis y enseignât en 1258 où eu Thomas d’Aquin pour élève. Il se rendit à la Sorbonne où de 1245 à 1248, il connut une telle renommée qu’il dut enseigner en plein air, aujourd’hui Place Maubert. De 1254 à 1257 il est prieur de la province dominicaine d’Allemagne. Fondateur d’une abbaye à Cologne, fut nommé évêque de Ratisbonne à 66 ans, en 1259, par Alexandre IV. Il démissionne deux ans plus tard et après quelques voyages, se fixe à Cologne où il travaille en solitaire une décennie puis décède.

■ Il fut béatifié en 1622, canonisé et proclamé docteur de l’église en 1931 et obtient le patronage des savants chrétiens en 1941.

■ La place Maubert à Paris vient de la contraction de son nom "Magister Albertus", car il y faisant des conférences tant ses auditeurs étaient nombreux, attiré par la célébrité du docteur universel. Célébrité qui ne s’épuisera pas avec son décès comme le souligne sa présence régulière dans les listes des grands penseurs avec par exemple la présence de son portrait dans la série des Vingt-huit Portraits d’hommes célèbres de Juste de Gand et Pedro Berruguete.

II. Pensée

Figure importante de la philosophie et de la science médiévale, son savoir encyclopédique embrassait tous les savoir de son temps et il est probablement un des plus grands savants de son époque. Sa démarche se démarque par un équilibre entre la rigueur scientifique, le respect de l’orthodoxie catholique et curiosité pour les sciences occultes. Il estime en effet que toute connaissance animée de piété conduit à Dieu et l’astrologie ou l’alchimie sont perçus par lui comme des moyens de connaissance du monde. Sa mystique, trouvant sa source dans la théologie dominicaine allemande, a déployé son influence outre-Rhin avant tout et par le truchement d’un néoplatonisme scolastique.

↳ Animé d’une culture universelle, il est l’auteur de traités de naturalisme sur la faune, la flore et les minéraux où il fait une large place aux propriétés occultes et à la magie naturelle. On lui attribue d’ailleurs quelques découvertes en chimie comme l’action de l’acide nitrique sur les métaux, la description de nouveaux sels de potassium (potasse à la chaux), la synthèse du sulfure de mercure et l’analyse des vapeurs d’arsenic et d’antimoine. Sa réputation d’alchimiste est principalement tirée de son Des Minéraux(1) où il disserte sur la talismanie. Il conclura par ailleurs dans sa partie sur les métaux — où il compare l’alchimiste à un médecin — à l’impossibilité de produire l’or alchimique alors qu’il découvre lui-même le principe de l’affinage de l’or : L’alchimie est impuissante à modifier les espèces ; elle ne peut que les imiter. […] J’ai moi-même essayé de faire de l’or alchimique et ai constaté qu’après six ou sept ignitions celui-ci se réduisait en poudre.

↳ Il partage à propos de l’astrologie, la même opinion que celle des intellectuels de son temps : il estime que les astres ont une influence sur le monde, quoique cette influence n’agisse que sur les corps et sauvegarde ainsi le libre arbitre de l’esprit Humain qui n’est qu’incliné par eux. Son passage d’astrologie naturaliste dans son Causis proprietatum elementorum à propos de produisant des vents pestilentiels et dangereux pour la santé sera repris par les médecins-astrologues.

↳ Il développe ses conceptions mystiques, notamment dans son commentaire de la Théologie mystique du Pseudo-Denys. Il tente en effet de concilier une théologie aristotélicienne et un mysticisme platonicien et par son développement de la pensée dionysienne, il en permettra la réception dans ces milieux qui n’étaient pas enclins à ce type de recherche. La démarche d’Albert est imprégnée de théologie négative : le mystique ne saurait voir Dieu en face mais par le biais indirect d’un miroir reflétant les vertus divines qui sont ses effets. Ce miroir est perceptible par les yeux de l’âme purifiée.

● Tout d’abord, continuateur d’Augustin dans l’époque dévote qui est la sienne, il préfigure évidemment Aquin. Le dévot doit s’appliquer à se fondre dans la volonté divine par l’entremise de la pratique des commandements et de la charité, charité dont il se fait le relais et rayonne une fois cette conformité atteinte.

● Pour le dominicain ensuite, la vie contemplative ne peut être atteinte que par la vie active correctement menée. La première, contemplata aliis tradere, renseigne la seconde sur ses moyens d’amélioration et l’amène de se communiquer à autrui, et créant ainsi une cercle vertueux. D’autre part, la vie contemplative atteinte, elle doit savoir se détacher de la vie active afin de porter ses fruits spirituels. Il en va de même par analogie, dans le rapport entre théologie et mystique.

◆ C’est un commentateur et un expérimentateur de l’œuvre aristotélicienne(2) qu’il critique autant que celles de Maïmonide et Averroès par l’intermédiaire desquelles il réceptionne et pour ainsi dire reconstitue l’œuvre du stagirite. Outre sa lutte contre les tendances arabisantes de la théologie de son époque, il s’astreint à commenter les Sentences de Lombard, les œuvres du Pseudo-Denys et presque tous les livres de la Bible dont il tire une vaste production théologique où il use de la lectio divina, de la théologie positive et négative. On le considère à juste titre comme l’introducteur des sciences grecques et arabes en Europe.

III. Note philologique

Npc. avec les Pseudos-Albert-Le-Grand qui émaillent sa bibliographie d’apocryphes, même si la prudence s’impose dans la mesure où l’Église s’empressa de lui nier la paternité d’ouvrages encombrants traitant d’alchimie comme Le Composé des composés, Le Livre des huit chapitres ou sa Concordance des philosophes. Pareillement, le Speculum astronomiae qui lui est attribué et qui, fondé sur l’influence naturelle des astres plutôt que les pratiques incantatoires, aura influencé Agrippa n’est vraisemblablement pas de lui(3).

↪ Les traités d’occultisme populaires sont du reste absolument apocryphes même si ils reprennent des éléments de ses écrits sur la philosophie naturelle(4). On y trouve deux grimoires de colporteurs, mélange de magie naturelle et de sorcellerie : Les Secrets de Grand Albert et le Petit Albert. On trouve encore entre autres, dans sa pseudo-épigraphie, les Secrets des femmes {Secreta mulierum} ouvrage mêlant gynécologie et médecine populaire ou les Merveilles du Monde {De mirabilibus mundi} qui se propose d’envisager rationnellement les phénomènes inexpliqués.

↳ Albert dispose donc d’une réputation d’enchanteur, elle est probablement basée sur certains passages d’Albert dans son De Anima et les propos d’Ulrich de Strasbourg qui le qualifiait de magicien. Une rumeur dont on trouve trace dans le Rosaio della Vita de Matteo Corsini prétend qu’Albert aurait construit un automate Humain parlant et marchant, créature artificielle proche du golem et dont chaque membre aurait été associé à un signe du zodiaque. Il l’aurait néanmoins constitué sans intention diabolique, seulement dans le but d’éprouver les lois de la nature. On trouve confirmation de cette position dans sa Summa theologiae où il condamne la nigromancie. De l’avis de Trithème ou Gabriel Naudé, Albert semble ne s’être intéressé qu’a la magie naturelle et tentât vraisemblablement de l’extirper de pratiques qu’il considérait comme des superstitions, sinon de la sorcellerie.

IV. Documents pertinents

Grillot de Givry in Anthologie de l’occultisme ajoute : Ce savant dominicain naquit à Lavingen en Souabe, de la famille des comtes de Bollstaedt ; il fit ses études à Pavie, enseigna la philosophie aristotélicienne à Paris et à Cologne, puis fut nommé archevêque de Ratisbonne. Ses œuvres théologiques et philosophiques ont été recueillies en vingt et un volumes in-folio ; ce ne sont, pour la plupart, que des compilations d’Aristote, de Pierre Lombard et de quelques écrivains arabes. Cependant il s’adonna avec ardeur à l’étude de la physique et des sciences naturelles, fort négligées à son époque, et il reste de lui plusieurs traités d’alchimie, ainsi que deux ouvrages fort curieux sur la génération et sur les vertus des plantes et des pierres. Il eut, de son vivant même, la réputation d’un magicien. Il donna à Cologne, à Guillaume de Hollande, un festin pendant lequel il fit apparaître, en plein hiver, toutes les fleurs du printemps dans le jardin du cloître. Un mystérieux automate qu’il avait construit fut brisé par son disciple, saint Thomas d’Aquin, qui y vit une œuvre du démon. Il serait à désirer que l’on fît une traduction exacte des livres de sciences physiques d’Albert le Grand. Ils ont été abrégés et dénaturés dans un ouvrage informe et populaire intitulé : Les Secrets du Grand Albert, compilation grossière dont la lecture n’est pas recommandable. On a placé également sous son son nom un ouvrage de sorcellerie : Le Petit Albert, à la rédaction duquel il est complètement étranger. On verra, par les extraits que nous donnons du livre De Secretis Mulierum, qu’il tenait l’astrologie en grand honneur, et ne la croyait pas incompatible avec la foi catholique.

🕮 Bosc, ref.16 : A été un des auteurs les plus féconds du moyen age (ses ouvrages ne forment pas moins de vingt-un volumes in-folio) : voici les noms divers sous lesquels il est connu : Albertus Magnus, Albertus Teutonicus, Albertus Grotus, Frater Albertus, De Colonia, Albertus Ratisbenensis. On a attribué à Albert, notamment J.-B Nazarini et Borel, les ouvrages alchimiques suivants qui paraissent être pour la plupart, du moins, apocryphes : Opus optimum et verissimum de secretis philosophorum ; Semita recta ; Semita Smitæ ; Tramita ; In arborem Aristotelis ; De generatione lapidum ; De sigilis lapidum ; ars alchimiæ ; etc. Nous donnons ci-dessous les œuvres alchimiques qui sont bien d'Albert. […] Quoi qu'il en soit, Albert était un homme de génie et très réfléchi, ce qui ne l'empêche pas de déclarer que la transmutation des métaux est possible. […]

🕮 Lenglet Du Fresnoy, ref.13 (Libellus de Alchymia) : Albert de l’Ordre de S. Dominique, né d’une famille très-noble d’Allemagne, fut Evêque de Ratisbonne en 1260. Il a été le maître de S. Thomas d’Aquin, surnommé l’Ange de l’Ecole, qui a pareillement travaillé sur la Philosophie Hermétique. Cependant quelques auteurs doutent que ce Traité soit d’Albert le Grand ; qu’il en soit ou non, je ne laisse pas de le placer ici.

𝕍 Albert le Grand, sa vie et sa science, Joachim Sighart, 1862. Lien vers l’œuvre (via Livres-mystiques Lien vers le site).

Vous pouvez consulter Alberti Magni e-corpus Lien vers le site, site en ang. permettant de télécharger une grande partie de ses œuvres. Lien vers le site

Œuvres choisies

  • La Somme des créatures {Summa de creaturis}, 1240.
  • De la Nature du bien {De Natura boni}, 1243.
  • Sur l’Intellect et l’objet intelligible {De Intellectu et Intelligibili libri}, 1250.
  • De l’Âme {De Anima}, 1254.
  • Du Destin {De Fato}, 1256.
  • Des Animaux {De Animalibus}, 1258.
  • De la Nature des lieux {De Natura Locorum}, 1260.
  • Des Minéraux et des substances minérales {De Mineralibus et rebus metallicis}, 1262 1263.
  • Des Causes et de l’émanation de l’univers {De Causis et processu universitatis}, 1263 1267.

  • La Philosophie des pauvres {Philosophia pauperum}, Information inconnue.
  • Des Végétaux {De Vegetalibus}, Information inconnue.

  • attr. Le Grand Albert, XII.
  • attr. Livret d’alchimie, XIII (un abrégé de la Somme du Pseudo-Geber).
  • attr. Le Composé des composés, 1331.
  • attr. Le Miroir de l’astronomie {Speculum Astronomiae}, 1260, ? 1331. [? Richard de Fournival]
  • attr. Opuscule du Petit Albert, 1668.

Citations

Le but des sciences naturelles n’est pas simplement d’accepter les déclarations des autres, mais d’enquêter sur les causes qui sont à l’œuvre dans la nature.
Des Minéraux et des substances minérales
Le meilleur alchimiste est celui dont les expériences se déroulent à l’imitation des phénomènes de la nature.
Des Minéraux et des substances minérales
Je ne cacherai pas une science qui m’a été révélée par la grâce de Dieu, je ne la garderai pas jalousement pour moi seul, de peur d’attirer sa malédiction. Une science tenue secrète, un trésor caché, quelle est leur utilité ? La science que j’ai apprise sans fictions, je vous la transmets sans regrets. L’envie ébranle tout, un homme envieux ne peut être juste devant Dieu. Toute science, toute sagesse vient de Dieu ; c’est une simple façon de parler que de dire qu’elle vient de l’Esprit-Saint. Nul ne peut dire : Notre-Seigneur Jésus-Christ sans sousentendre : fils de Dieu le Père, par l’opération du Saint-Esprit. De même cette science de vérité ne peut être séparée de Celui qui me l’a communiquée. Je n’ai pas été envoyé vers tous, mais seulement vers ceux qui admirent le Seigneur dans ses œuvres et que Dieu a jugé dignes. Que celui qui a des oreilles pour entendre cette communication divine recueille les secrets qui m’ont été transmis par la grâce de Dieu et qu’il ne les révèle jamais à ceux qui en sont indignes. La nature doit servir de base et de modèle à la science, aussi l’Art travaille d’après la Nature autant qu’il peut. Il faut donc que l’Artiste observe la Nature et opère comme elle opère.
Tous les Philosophes disent que notre Pierre se compose de trois choses : le corps, l’esprit et l’âme. Or, la terre blanche foliée c’est le corps, le ferment c’est l’âme qui lui donne la vie, l’eau intermédiaire c’est l’esprit. Réunis ces trois choses en une par le mariage, en les broyant bien sur une pierre propre, de façon à les unir dans leurs plus infinies particules, à en former un chaos confus. Quand tu auras fait un seul corps du tout, tu le mettras doucement dans une fiole spéciale, que tu placeras sur son lit chaud, pour que le mélange se coagule, se fixe et devienne blanc. Tu prendras cette pierre blanche bénite, tu la broieras subtilement sur une pierre bien propre, tu l’imbiberas avec un tiers de son poids d’eau pour abaisser sa soif. Tu la remettras ensuite dans la fiole claire et propre sur son lit tiède et chaud pour qu’elle commence à suer, à rendre son eau et finalement tu laisseras ses entrailles se dessécher. Recommence plusieurs fois jusqu’à ce que tu aies préparé par ce procédé notre très excellente Pierre blanche, fixe, qui pénètre les plus petites parties des corps très rapidement, coulant comme l’eau fixe quand on la met sur le feu, changeant les corps imparfaits en argent véritable, comparable en tout à l’argent naturel. Remarque que si tu recommences plusieurs fois toutes ces opérations dans le même ordre : dissoudre, coaguler, broyer, cuire, ta Médecine sera d’autant meilleure, son excellence augmentera de plus en plus. Plus tu travailleras ta Pierre pour en augmenter la vertu, et plus tu auras de rendement lorsque tu feras la projection sur les corps imparfaits. En sorte qu’après une opération une partie de l’Elixir change cent parties de n’importe quel corps en Lune, après deux opérations mille, après trois dix mille, après quatre cent mille, après cinq un million, après six opérations des milliers de mille et ainsi de suite à l’infini. Aussi les adeptes louent-ils tous la grande maxime des philosophes sur la persévérance à recommencer cette opération. Si une imbibition avait suffi, ils n’auraient pas tant discouru sur ce sujet. Grâces soient rendues à Dieu. Amen.
Il existe deux grandes sagesses et chacune est définie par le nom d’astronomie […] La première traite de la science de la configuration du premier ciel […] La deuxième grande sagesse […] est la science des jugements des étoiles, qui fournit un lien entre la philosophie naturelle et la métaphysique [...] Aucune science humaine n’atteint cet ordre [supercéleste et élémentaire] de l’univers aussi parfaitement que le fait le jugement des étoiles.
Le Miroir de l’astronomie
J’ai connu de riches savants, des abbés, des directeurs, des chanoines, des physiciens et des illettrés, qui avaient perdu leur argent et leur temps dans les recherches de cet art. Néanmoins, cet exemple ne m’a pas découragé. Je travaillais sans relâche, je voyageais de pays en pays, en me demandant : Si la chose est, comment est-elle ? Et si elle n’est pas, comment ne l’est-elle pas ? Enfin, j’ai persévéré jusqu’à ce que je sois arrivé à reconnaître que la transmutation en argent et en or est possible.
Livret d’alchimie
Créer, c’est produire quelque chose à partir de rien.
attr. passim
Quel est de tous les hommes le plus contemplatif ? C’est le plus savant.
attr. passim


1. Cet ouvrage est censé se substituer à un livre d’Aristote qui est perdu.

2. Durant sa période au studium generale.

3. Quoique la question soit fort disputée, 𝕍 Le Speculum Astronomiae, une énigme ? Enquête sur les manuscrits, 2001, Agostino Bagliani.

4. Mêlés à Pline et au Pseudo-Aristote.